Le licenciement d'un salarié pour des motifs tirés de sa vie personnelle n'est pas nul
Dans un arrêt du 25 septembre 2024, la Cour de cassation se penche sur les conséquences d'un licenciement fondé sur des faits tenant à la vie privée du salarié. Elle opère une distinction, lourde de conséquences, entre la vie personnelle et l'intimité de la vie privée du salarié. La première, contrairement à la seconde, n'est pas une liberté fondamentale et ne bénéficie donc pas des mêmes effets à l'égard du licenciement.